Divinisée autant que ridiculisée, la poésie oublie souvent elle-même qu'elle ne peut être véritablement cernée. À partir d'une poignée de recueils parus dans les derniers mois, voici le petit portrait flou d'une diaspora de l'ineffable au sein des existences.
Il émerge annuellement du Québec et de ses alentours une quantité impressionnante de livres de poésie. Le nombre de maisons d'édition, de revues, de colloques et d'études se consacrant au genre peut d'ailleurs sembler disproportionné si l'on considère le lectorat et . . .
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