Le numéro printanier de Nuit blanche
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DIRECTION MONCTON, HARLEM…
Dans ce numéro printanier de Nuit blanche, on souligne les 25 ans de poésie de l’Acadien Christian Roy qui vient de faire paraître L’étoffe des braises (Perce-Neige), son septième recueil. Direction Moncton, où Louis-Martin Savard s’est entretenu avec l’auteur, qui voit l’écriture comme un code secret derrière lequel se cache le poète.
« En art, comme en biologie, on mijote des recettes dont la signification et l’importance dépassent les ingrédients qui les constituent. » Entrons plus avant dans le monde de l’ex-servant de messe, gaucher et grand parleur à pleines dents Christian Roy à travers sa non-lecture de « Gros mots, de Réjean Ducharme, acheté à la Librairie acadienne en septembre 2002 ». À la soupe… primordiale des mots !
L’hiver, le monde était une grande page blanche. Mon père revenait de la neige.
Le titre fait sourire. À l’approche de son soixantième anniversaire, Michel Pleau, dans « Comment je suis devenu un vieux poète », se rappelle que c’est avec un regard jeune, vivant et curieux qu’il poursuit son exploration de l’existence.
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