En couverture, en hommage à la grande disparue de la littérature québécoise, une photographie de Marie-Claire Blais, par Anne-Marie Guérineau, prise durant les années 1980 lors d’une entrevue parue dans le dossier « Vivre ailleurs pour écrire ». « À la veille de son ultime départ, la jeune et secrète Marie-Claire Blais, du haut de ses 82 ans, n’avait rien perdu de son intensité et de sa générosité », observe Thérèse Lamartine dans « Marie-Claire Blais. À la recherche du temps disparu ».
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