Avec ce numéro d’été revient la rubrique LE LIVRE JAMAIS LU. Si vous ne connaissiez pas encore cet espace de création dans Nuit blanche, disons simplement que pas moins de 50 auteurs québécois et franco-canadiens y ont à ce jour contribué. [Et bientôt, dans le nouveau site Web du magazine, d’Alain Beaulieu à Jean-Paul Daoust, d’Herménégilde Chiasson à Claire Martin, vous pourrez en quelques clics naviguer dans les univers personnels de cette galerie d’écrivains]. La parole est cette fois-ci donnée au Manitobain J. R. Léveillé, auteur, entre autres, du Soleil du lac qui se couche. De L’Iliade et L’Odyssée en « Classic Comics » de la pharmacie du coin à « L’Olympe de l’écriture » : invitation au voyage.
Sous la rubrique ÉCRIVAINS FRANCO-CANADIENS : « Daniel Poliquin, le romancier hilare des libertés individuelles ». François Ouellet présente l’œuvre de l’écrivain originaire d’Ottawa, « romancier par excellence des sans-patrie », qui vient de faire paraître Le vol de l’ange, son « roman acadien ». Et de François Ouellet, cette fois-ci auteur, Laurent Laplante a lu Grandeurs et misères de l’écrivain national, Victor-Lévy Beaulieu et Jacques Ferron.
À la lumière de publications récentes, quatre ans après la mort de Pierre Vadeboncœur – et après la parution dans nos pages d’un panorama de son œuvre –, ce numéro revient sur le parcours, entre classicisme et modernité, de l’essayiste qui sans cesse a su réévaluer sa pensée. Avec Roland Bourneuf, Laurent Laplante et Andrée Ferretti.
Un poète en prie une autre, « Chère de chère », de tenir compagnie à Jacques, tout comme elle disparu. Il s’embrase : « […] la littérature n’est pas un concours de souffrance ». Puis éteint tous les feux. Par Renaud Longchamps : « Geneviève Amyot, Jean Désy, La détresse et l’enfantement étaient extravagants ».
Bonne lecture ! Suzanne Leclerc