Aller au contenu
Mode lecture zen

NUIT BLANCHE

IMAGINAIRE ROUTIER

ET FORMES LITTÉRAIRES DU QUOTIDIEN

L’état des routes québécoises est excellent. Dans la fiction romanesque, s’entend. À preuve, les voix nouvelles de Sara Lazzaroni, Jonathan Ruel et Christian Guay-Poliquin : trois avancées pour réinventer la roue, la route et le voyage. 

Il me semble que ceux qui s’inquiètent de la persistance de la vraie correspondance dans le nouvel univers technologique font fausse route. Les relations épistolaires sont en mutation, mais bien actives. Elles survivront. Mais laisseront-elles encore des traces ? J’ai trop de respect pour ces formes littéraires du quotidien pour imaginer que celles de ma génération ne méritent pas de perdurer quelque part.1
1. Catherine Voyer-Léger, « Pardonnez-moi ce long silence : Correspondance entre Gabrielle Roy et Margaret Laurence », Nuit blanche, no 132, automne 2013.

Art épistolaire . . .

Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ?

Enregistrement