35 ANS – PRISE 3*
AVEC LE TEMPS, va, même les plus gros mots sont domptés et domestiqués. Surtout lorsqu’ils sortent de la bouche d’une poète qui l’a bien déliée [la langue]. Après Maude Veilleux au printemps et Christian Guay-Poliquin à l’été, voici en couverture une troisième figure de la «relève» littéraire, en cette année du 35e anniversaire de Nuit blanche. Sous la forme d’une lettre touchante . . .
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