Messire Benvenuto (JCL, 2001) avait révélé le talent de François Guérin comme recréateur de l'histoire et de la sociologie. En racontant et en romançant la biographie du sculpteur Cellini, il était parvenu non seulement à le rendre vivant, mais à nous faire comprendre son époque et les défis dont elle était lourde. Cellini, inventif et fantasque, entrait de plain-pied dans notre imaginaire.
Prodige noir tente la même aventure avec un égal succès. Certes, l'époque et le décor diffèrent . . .
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