Ce récit offre quelque chose de tout à fait inattendu. Je ferme le livre et je le sens : j’ai rarement lu l’équivalent. À quoi tient mon étonnement ? D’abord au fait que, à trois ou quatre personnages près – un médecin, deux prêtres, un jeune interne –, le récit ne met en scène que des femmes. C’est rare. Je me demande encore : récit ou roman ? Je tranche, sans rien enlever à la valeur du résultat : reportage déguisé en récit, un récit habile.
Madame 60 bis raconte les quelques . . .
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