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AU NOM DE LA VÉRITÉ

490 pages
32,95 $
Trad. du suédois par Rémi Cassaigne
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Sur l’îlot de Lökholmen, les festivités de la Saint-Jean approchent. Les journées allongent, l’air embaume le lilas et les vacances d’été commencent. Dans un camp de voile, un enfant, puis deux disparaissent. Que se passe-t-il sur les plages de ce paradis situé au bord de la mer Baltique ?

Avec le polar Au nom de la vérité, huitième titre de la série, la Suédoise Viveca Sten présente une fois de plus les enquêtes de l’étrange binôme formé de l’inspecteur Thomas Andreasson et de l’avocate Nora Linde. Présents dans chacun des romans, ces amis d’enfance sont cette fois plongés dans des drames différents, mais parallèles, qui ont lieu à un jet de pierre de l’île de Sandhamn, dans l’archipel de Stockholm. L’écrivaine possède une maison ancestrale dans ce lieu mythique – qu’elle a fait découvrir à son public international – et y situe les aventures de ses protagonistes.

Une semaine durant, alors qu’il passe des vacances en famille dans un îlot voisin, l’inspecteur Andreasson cherchera à résoudre les disparitions d’enfants : pourquoi et où diantre se cachent les petits campeurs ? Il y a d’abord Clara, une adolescente de treize ans qui déteste le camp de voile et décide tout simplement de rentrer chez elle. « Une fille de cet âge devrait quand même comprendre qu’on ne peut pas filer comme ça sans rien dire à personne. » Après des sueurs froides, une fausse alerte.

La deuxième fois qu’un enfant manque à l’appel, on se questionne : est-ce sérieux ou n’est-ce qu’une autre fugue ? Le petit Benjamin, onze ans, s’est évanoui dans la nature. Disparition d’autant plus troublante que le père du jeune garçon est cité à témoin dans un retentissant procès de criminalité financière, dans lequel la juriste Nora Linde est la procureure. « Elle l’avait mis en examen pour abus de biens sociaux aggravé et requis une lourde peine de prison. » Un étrange hasard, vraiment.

Est-ce un autre hasard si rode sur l’île au même moment un prédateur sexuel ?

Il y a échange d’informations entre Andreasson dépêché sur les lieux et Linde scotchée au tribunal où tout va de mal en pis, pendant que la juge entend les dépositions des témoins. Un chassé-croisé désespéré s’engage entre la capitale et le camp de voile où les moniteurs sont submergés par la panique, comme d’ailleurs la mère de l’enfant, folle d’inquiétude. « Benjamin ! cria-t-elle. Il a disparu du camp de voile ! »

Avec plus de six millions d’exemplaires vendus et les aventures du duo d’enquêteurs diffusées en plusieurs langues sur ARTE – dans la télésérie Meurtres à Sandhamn –, l’ex-avocate et aujourd’hui écrivaine Viveca Sten connaît un succès certain.

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