L’étude de la littérature costaricienne à travers ses cent ans d’histoire révèle, au-delà de différences de genres, de particularités esthétiques et de spécificités historiques, certainesLire la suite »Entre le village et le monde : Cent ans de littérature
Parler de mes poèmes m’a toujours été difficile. Peut-être en raison d’un mélange de pudeur, d’étrangeté et de scepticisme. Au fond, celui qui écrit saitLire la suite »Carlos Francisco Monge : Autobiographies
Comme on le constate souvent lorsqu’on étudie la littérature d’une région, la poésie costaricienne possède, à la fois, une identité sans équivalent et un héritageLire la suite »La poésie costaricienne : Un états des lieux
« Les Ticos sont toujours comme ça, plutôt silencieux, mais pleins de surprises » Julio Cortázar, traduit de l’espagnol par Katia Benavides-Romero La plus ancienne illustrationLire la suite »Insula rarissima (insularité, mythes et démocraties)
Il y a des œuvres qui nous accompagnent avec plus d’insistance ; celle d’Annie Ernaux en fait partie. Les livres qui la composent retracent desLire la suite »Annie Ernaux : Une femme au cœur de l’écriture (entrevue)
Après La démocratie, j’aime ça ! (1997) et La démocratie, je la reconnais ! (1998), Laurent Laplante nous revient avec deux nouveaux volumes : La démocratie, je l’invente ! et La démocratie, jeLire la suite »La démocratie, un jeu d’enfant !
Le cycle arthurien, inspiré de personnages issus de l’Empire romain à son déclin, a alimenté la littérature orale pendant tout le Moyen Âge et aLire la suite »Merlin philosophe ou la légende arthurienne selon Michel Rio
S’il y a dérive des continents, pourquoi les genres littéraires ne pourraient-ils pas, vraies plaques tectoniques, se télescoper et se superposer ? Certains polars serontLire la suite »Les nébuleuses de l’énigme et de l’angoise
Olga Orozco est née à Toay, un lieu isolé, balayé par les vents, au cœur de la pampa argentine, en 1920. Elle fait partie deLire la suite »Olga Orozco et ses éclairs du monde invisible
L’attribution du Prix Nobel à Halldór Laxness en 1955 attira l’attention des lecteurs français sur un écrivain que, à la différence des Anglo-Saxons, ils ignoraientLire la suite »Halldór Laxness et l’Islande
La carrière du dramaturge Nelson Rodrigues offre un champ d’observation privilégié de la vie culturelle brésilienne des années 40 jusqu’à aujourd’hui. Cela est dû auLire la suite »Nelson Rodrigues, absolu et pluriel
Au cours de la première décennie du XXe siècle, la ville de Rio de Janeiro célèbre ses joyeuses fiançailles avec la civilisation. L’inauguration, en 1908,Lire la suite »Mémorial de Aires de Machado de Assis
Le Brésil n’est qu’un goinfre. Aussi insatiable que ses terres extrêmes, sereinement inondées par les astres, il ouvre grand la gueule pour dévorer toute matièreLire la suite »Littérature brésilienne : Présentation
En 1977, Alain Finkielkraut et Pascal Bruckner publient au Seuil Le nouveau désordre amoureux. Tiens, tiens exactement dix ans plus tôt, des manuscrits de CharlesLire la suite »Alain Finkielkraut : Amour et utopie (entrevue)
Mon « livre jamais lu » m’est tombé des mains. J’avais commencé à le lire. Il est demeuré dans la case des « jamais lus ». Ce n’est pasLire la suite »Ainsi parlait Zarathoustra (de Friedrich Nietzsche)
André Dubus, le nom vous dit quelque chose ? Et si l’on prononce Debiouze ? Pas davantage ? Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul. À partLire la suite »André Dubus : La complainte des désillusions
Qui pourrait prédire la prochaine fantaisie de l’enfant ou son futur chagrin ? La littérature sera prudente et attentive, par conséquent, si elle offre auxLire la suite »Des livres pour toutes les humeurs : Une littérature attentive
À tout réussir du premier coup ou presque, Didier van Cauwelaert ne va-t-il pas bientôt manquer de défis ? Que pourra-t-il bien viser, et évidemmentLire la suite »Didier Van Cauwelaert : « Le sérieux affadit tout » mais l’humour, lui, était-il un alibi ? (entrevue)
Quel livre, quel auteur n’ai-je pas lu ? Envers lequel de mes illustres prédécesseurs ai-je commis ce crime de lèse-culture qui consiste à ignorer uneLire la suite »Lettre à un vieux poète (Faulkner, Hemingway, Fitzgerald)
Savoir par cœur n’est pas savoir, c’est tenir ce qu’on a donné en garde à sa mémoire », proclamait Montaigne. Si une bonne mémoire est deLire la suite »Mimnêsko
Si l’art de l’épître dédicatoire existe depuis des millénaires, son usage a sensiblement évolué. En un mot commençant, la dédicace, du latin dedicare (consacrer), relève tantôt deLire la suite »En un mot comme en cent
Une fois n’est pas coutume Il eût été astucieux, pour inaugurer une rubrique dédiée à l’insolite, de préluder avec un article sur le mouton àLire la suite »À bon chat, bon rat ( à moins que ce ne fût le contraire… )
Le domaine littéraire a lui aussi ses exploits, ses records, ses prouesses. Qu’il soit donc pour une fois permis aux sédentaires rats de bibliothèque impénitentsLire la suite »Citius, altius, fortius*
« Paris révèle et Bordeaux, semble-t-il, étouffe. La ville, c’est bien connu, ajoutant l’oubli à l’oubli, n’aime pas ses écrivains et ceux-ci, d’ailleurs, le lui rendentLire la suite »Jean Forton (1930-1982)
Dans l’entrevue qu’il a accordée à Nuit blanche alors qu’il était encore attaché culturel au consulat de France de Québec, Alain Nadaud est revenu surLire la suite »Alain Nadaud, le fil d’Ariane (entrevue)
