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Le vendredi 2 octobre 2009. C'est le matin. Partout le temps gris contient le vent ; les feuilles accrochées aux branches se dessèchent lentement. À la fenêtre la nature crève. Bêtement. Aujourd'hui, on ne veut pas mourir dans la mort de l'autre. Et cela veut dire que notre mort doit être unique pour que nous puissions en parler . . .
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