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Karoline Georges et les devenirs multiples de l’humain

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Écrivaine et artiste multidisciplinaire, elle a d’abord pratiqué et enseigné la danse avant qu’un grave accident ne vienne réorienter son rapport au corps et marquer son processus de création. Rencontre1 avec la lauréate du Prix littéraire du Gouverneur général 2018 pour son roman De synthèse.
Patrick Bergeron : La mue de l’hermaphrodite, votre premier roman, est paru en 2001. Il retrace l’histoire d’une créature de la science conçue dans un traitement « moléculochimique révolutionnaire » et qui a peut-être été affectée, comme le monstre de Frankenstein, par une décharge électrique ressentie par la mère pendant un orage. D’où vient l’idée de ce personnage ?
Karoline Georges : Je ne me souviens plus du flash initial. Pour moi, Frankenstein, c’est probablement le . . .

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