Jean-Loup Trassard, comme les personnages de ses récits, vit près de la terre. Depuis ses premiers recueils de nouvelles (L'érosion intérieure, Paroles de laine, dans les années 1960) jusqu'aux récents romans (Dormance, La déménagerie ; voir Nuit blanche no 113), les champs, les ruisseaux, les forêts sont avec les êtres insolites qui y évoluent aux confins de la réalité et de l'imaginaire, les acteurs de drames et d'événements engagés dans de mystérieux échanges à travers l'espace et les âges.
En parallèle, ou plut . . .
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