Dans la première moitié du XXe siècle, à cause de la valeur symbolique des villes dans l'esprit des artistes et du public canadien, leur goût pour le paysage rendait inintéressantes les images que pouvaient suggérer les grandes métropoles comme Montréal. Pourtant, dans les années trente et quarante, à Montréal, les peintres juifs ont fait de la ville et de la vie urbaine les sujets dominants de leur production. Les raisons de ce fait sont diverses et peuvent être recherchées dans les domaines socioéconomique et politique mais aussi, et pourquoi pas . . .
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