Le livre est attrayant. On en lit des passages, on sourit. On le feuillette aussi pour la mise en page originale, le graphisme en noir et rouge et les images qui nous ramènent aux années 1950, à l'ère soviétique. Le propos de cet abécédaire, cependant, se rapporte autant à la Russie de l'époque qu'à celle d'aujourd'hui. Dans cette suite de chroniques publiées initialement dans la presse russe puis réunies dans deux recueils (Abécédaire de la vie et Amour), Katia Metelizza dépeint d'un point de vue drolatique les . . .
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