Même avec le recul du temps, Mandrin demeure objet de controverse. Adulé par un certain public, haï par ceux qu'il dépouillait, traqué par les soldats du roi, il mena à un rythme fulgurant une carrière à la Robin des bois, quelques meurtres répugnants en sus. Le portrait que brosse de lui Michel Peyramaure présenterait pourtant moins d'intérêt si Mandrin occupait constamment l'avant-scène. Pour notre plus grand bénéfice, ce n'est pas le cas. Mandrin intervient au milieu du XVIIIe siècle, dans une France mise en coupe r . . .
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