Si les romans donnant la parole à des dictateurs ont créé un sous-genre au sein de la littérature latino-américaine, ceux qui mettent en scène les guerres civiles se font plus rares, même si les deux maux ont été trop présents dans l’histoire de la région. Avec La servante et le catcheur, Horacio Castellanos Moya s’est mis à la tâche de décrire celle qui a secoué le pays où il a grandi et qui l’a forcé à s’exiler, le Salvador. Avec ce roman, Castellanos Moya signe son récit le . . .
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