Le journaliste américain et auteur du livre à succès Minuit dans le jardin du bien et du mal, John Berendt, décide, en 1996, de s'installer à Venise. Amoureux de longue date de la cité des doges, il y restera près d'une dizaine d'années. La cité des anges déchus est le compte rendu de ses recherches sur quelques « rumeurs et ragots » qui ont passionné les Vénitiens durant son séjour.
L'écrivain débarque dans la lagune trois jours après l'incendie de la Fenice, la célébrissime salle d'opéra qui a vu la création de Rigoletto et de La Traviata. Incendie criminel ? Catastrophe due à la négligence ? Cette conflagration et ses répercussions judiciaires constituent la toile de fond sur laquelle viendront se greffer les autres histoires qui composent cette chronique vénitienne.
Par exemple, il tente de démêler les magouilles . . .
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