D’emblée, le titre surprend par l’injonction, l’appel à la combativité, indissociable ici du ravissement que l’on ressent lorsque l’on parvient, contre vents et marées, à maintenir le cap, à relancer la quête qui nous porte et nous désespère tout à la fois, et à laquelle on ne peut se soustraire. Hymne à la création, à la persévérance, tout autant que méditation sur les motivations qui tenaillent le créateur, Fais ta guerre, fais ta joie, c’est aussi ce regard croisé sur l’écriture et la peinture, cette tentation . . .
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