Photographies par Sophie Gagnon-Bergeron, Nana Quinn, Louise Leblanc et Yvon Poulin.
Dominique Fortier, David Homel, Karoline Georges, Naomi Fontaine… Ainsi s’achève, au tournant des années 2020, la série « Quarante ans de portraits d’écrivain(e)s » proposée pour le 40e anniversaire de Nuit blanche.
Voir aussi le premier volet : Les années 1980.
Le deuxième volet : Au début des années 1990.
Le troisième volet : Au milieu des années 1990.
Et le quatrième volet : Les années 2000.
« Petit à petit, le lecteur a l’impression de lire le livre mais en fait il devient moi. »« Face au Styx. Le puissant roman de Dimitri Bortnikov », entrevue par Yvon Poulin, Nuit blanche, n° 148, 2017.
« [C]e que je cherche à faire, c’est éclairer d’une lumière oblique le sujet dont je parle plutôt que de l’aborder d’un angle unique. »
« Dominique Fortier et le temps enfui », entrevue par Michèle Bernard, Nuit blanche, n° 153, 2019.
« J’ai écrit, et je le fais toujours, par essais et erreurs, intuitivement, parce que sinon, quoi ? »
« Vivre tout court », par Valérie Forgues, Nuit blanche, n° 160, 2020.
« Cette idée de redonner vie en amalgamant des composantes d’êtres morts présente quelque chose d’éminemment poétique. »
« Karoline Georges et les devenirs multiples de l’humain », par Patrick Bergeron, Nuit blanche, n° 156, 2019.
Cynthia Harvey, Michaël La Chance, Alain Larose, Marie Christine Bernard, Sophie Bouchard, André Girard, Sophie Torris, Gabriel Marcoux-Chabot, Marjolaine Bouchard, Hervé Bouchard, Anne Martine Parent, Élisabeth Vonarburg, Mylène Bouchard, Laurance Ouellet Tremblay
« Trois pieds de glace et en dessous, c’est le large et l’immense profondeur, puis derrière, le fjord qui s’ouvre. »
Sophie Gagnon-Bergeron
Dossier « Vie littéraire et imaginaire du Saguenay–Lac-Saint-Jean », Nuit blanche, no 150, 2018.
« Les étonnants univers de David Homel », entrevue par Michèle Bernard, Nuit blanche, n° 157, 2020.
« Je sentais confusément que l’auteur [Albert Laberge] n’avait pas tout dit de ses personnages. »
« D’une Scouine à l’autre, et au-delà », par Gabriel Marcoux-Chabot, Nuit blanche, n° 151, 2018.
« Au fond, le but de l’écriture, ce serait de réchapper de l’oubli ce que ces êtres ont représenté, à défaut de les sauver. »
« De l’attrait du réel au désir d’absolu. Judy Quinn, poète et romancière », Nuit blanche, n° 152, 2018.
« Ai-je lu cela? Ou cela m’a-t-il lu? »
« Jamais presque pas encore lu », par Charles Sagalane, Nuit blanche, no 163, 2021.