Aller au contenu
Mode lecture zen

NUIT BLANCHE

En images et en quelques mots : A comme dans (Gilles) Archambault, B comme dans (Philippe) Besson, D comme
dans (Hélène) Dorion…

Voir aussi le premier volet : Les années 1980.
Le deuxième volet :
Au début des années 1990.
Et le troisième volet: Au milieu des années 1990

 

 

Gilles Archambault

« J’ai très tôt eu horreur des best-sellers, de ces livres qu’il faut avoir lus pour être renseignés ou pour le paraître. »

« J’avoue, je n’ai jamais lu Ulysse… », par Gilles Archambault, Nuit blanche, n 87, 2002.

 

 

 

Philippe Besson

« Les livres sont toujours plus intéressants que ceux qui les écrivent. »

« Éclairages complémentaires », par Thierry Bissonnette, Nuit blanche, no 97, 2004-2005.

 

 

 

 

Alain Lessard et Alain Borer1

« Rimbaud n’est pas au monde, il est celui qui continue, qui passe, au galop, devant les Ogadines, vers on ne sait quoi. »

« Dans l’exil de Rimbaud », entrevue par Alain Lessard, Nuit blanche, no 28, 1987.

 

 

Roland Bourneuf

« J’attends que l’écriture m’éclaire et m’oriente vers l’essentiel. Je la vois mal comme un jeu ou un bricolage, mais plutôt comme une réponse à une interrogation… »

« L’homme aux semelles de lettres », par Thierry Bissonnette, Nuit blanche, no 77, 1999.

 

 

 

Jacques Brault

« Nous ne sommes qu’au matin de nous-mêmes. Tout reste possible. »

« Le jeu dans le grave », par Roland Bourneuf, Nuit blanche, n° 85, 2001.

 

 

 

 

Chrystine Brouillet2

« Avant, j’aimais être écrivain, mais je n’aimais pas écrire. Et plus je vieillis, plus c’est l’inverse ! »

« Écrire pour raconter des histoires, oui… pas seulement », entrevue par Chantal Savoie, Nuit blanche, no 68, 1997.

 

 

René Dumont

 

 

 

 

 

Hélène Dorion

« Le seul fait d’être poète et d’écrire de la poésie revient à s’opposer au monde tel qu’il est. »

« Vers l’épique de l’intime » par Thierry Bissonnette, Nuit blanche, no 73, 1998-1999.

 

 

 

 

Serge Filippini

« Giordano Bruno : Hidalgo de l’univers infini », par Jean-Paul Beaumier, Nuit blanche, n° 44, 1991.

 

 

 

Georges Schéhadé

« Poète jusqu’à se perdre lui-même dans le poème qui l’engendre »
Saint-John Perse, sur Schéhadé

« La villégiature des mots », par Armelle Datin, Nuit blanche, no 88, 2002.

 

 

 

1 et 2. Photos prises lors d’éditions de la Rencontre québécoise internationale des écrivains.

Enregistrement