Qu’ont en commun Albert Jacquard, Andrée A. Michaud, François Ricard, Anne-Marie Garat ou encore Fernand Dumont ? Voici le troisième volet de « Quarante ans de portraits d’écrivain(e)s », un survol en images – et en quelques mots – de quatre décennies de littérature à travers les photographies d’Anne-Marie Guérineau.
Voir aussi le premier volet : Les années 1980.
Et le deuxième volet : Au début des années 1990.
« [U]n écrivain, c’est quelqu’un qui lutte, qui n’a pas de certitude, qui n’a pas de message très sûr à donner… »
« La fiction est dangereuse », entrevue par Claire Côté, Nuit blanche, n° 57, 1994.
« Quel est le lieu de l’homme ? »
« Québécois, par toutes ses fibres », par Andrée Fortin, Nuit blanche, no 59, 1995.
« En fait nous vivons à rebours, nous vivons à l’envers et notre mémoire est la manière dont chacun de nous organise ce passé… »
« Migrations intérieures », entrevue par Hélène Gaudreau, Nuit blanche, no 54, 1993.
Chris Giannou
« La compassion doit toujours être là, sinon vous n’êtes pas médecin. »
« Le chirurgien et auteur Chris Giannou », interviewé par Laurent Laplante, Nuit blanche, no 53, 1993.
« La vraie utilité de la science [ …], c’est de nous donner une meilleure lucidité sur le monde et, dans le monde, sur nous-mêmes. »
« Albert Jacquard…et l’angoisse de l’avenir… », entrevue par Bruno Deshaies, Nuit blanche, no 56, 1994.
« Lorsque j’écris, je vois des images animées. »
« Mémoire sous observation », entrevue par Catherine Lachaussée Nuit blanche, no 52, 1993.
« [C]ela définit la littérature : la pensée s’élabore au fur et à mesure qu’elle s’écrit. »
« N’en plus croire son miroir », entrevue par Jean Obélix Lefebvre, Nuit blanche, no 51, 1993.
« [L]’écriture, la limpidité, la transparence et même l’apaisement dans la phrase devancent, prolongent la matière romanesque elle-même. »
« Circuler librement à travers les âmes », entrevue par Jean-Paul Beaumier, Nuit blanche, no 63, 1996.
« Je cherche à prendre le monde un petit peu par tous les bouts. Il y a forcément quelque chose qui demeure à la fin. Ça doit être ça le style… »
« Nouvelliste jusqu’au bout des ongles », entrevue par Jean-Paul Beaumier, Nuit blanche, no 58, 1994.