Toutes, nous avons expérimenté diverses formes de sympathie et survécu à des « peines d'amitié » aussi pénibles que des peines d'amour, voire plus éprouvantes, étant donné le gage de pérennité que revêt le lien amical, plus ludique et plus souple que la passion érotisée.
Que les amitiés soient de connivence situationnelle (célibat choisi, maternité ou pensionnat partagé), qu'elles naissent tardivement ou traversent les décennies par la force d'une chronologie commune (ah, les copinages de collège !), leur alchimie fascine.
Dans ce témoignage d'une grande valeur, Denise Bombardier . . .
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