Ce n'est ni la première ni la dernière fois sans doute qu'un livre paraît sans le nihil obstat de l'écrivain. L'auteur du Petit prince n'a pas terminé lui-même l'agencement de Citadelle, pas plus que Musil n'a achevé L'homme sans qualités. Cela ne choque pas, à condition que le lecteur sache, dès le départ, qu'il terminera son voyage littéraire sans l'accompagnement de l'auteur. Grande fugue
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