Après avoir fait paraître des œuvres romanesques comme Haïti je t’aime / Ayiti, mven renmen ou !, Carnet de bord, Contrepoids et Marraine (dont le présent roman est la suite), Hélène Koscielniak décrit à nouveau les liens interculturels entre le nord de l’Ontario et les Antilles pour faire éclater des contrastes flagrants entre la misère des bidonvilles et la prospérité du Canada. Dans le roman précédent, la Canadienne Normande Viau s’était engagée dans un programme d’aide humanitaire, et après un cri du cœur lancé par ses amis de la République dominicaine, elle acceptait de parrainer (ou plutôt de « marrainer ») un jeune Haïtien de douze ans, Jo’no, qui risquait de connaître des conditions de vie atroces et la facilité de la délinquance s’il restait plus longtemps dans son pays natal.
C’est ainsi . . .
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