On va toujours trop loin pour ceux qui vont nulle part.
Pierre Falardeau
LONGUE INTRODUCTION EN ITALIQUE POUR UN PLAIDOYER PRO DOMO
Dès potron-minet, le téléphone sonne. Là et las, je suis sombre et noir, avec ou sans café, pis c’est comme ça avec un couche-tard jamais en retard sur la vie. Au bout du combiné, un ami artiste précambrien se lamente sur le peu de cas que l’on fait de son œuvre à Montréal. Il a sacrifié sa vie . . .
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