J'aime quand la lumière et le tumulte du jour cèdent le pas à la nuit dans cette irrévocable – mais ô combien réconfortante ! – procession constamment renouvelée. Peut-être parce que ce passage obligé est la seule chose dont je suis sûr.
Au moment où d'aucuns se préparent pour le sommeil, mon corps sort d'une léthargie que j'ai appris à maquiller pour faire avec la convention des vivants. L'esprit clair, l'œil parfaitement adapté pour la pénombre, le cœur qui ralentit la cadence, j'entreprends un nouveau quart. De lecture . . .
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