Ami de Jean Cocteau, de Maurice Sachs et de Blaise Cendrars, le poète et romancier Roger de Lafforest (1905-1998) est l'auteur complètement oublié d'une œuvre atypique, dont les romans Kala-Azar (1930) et Les figurants de la mort (1939) offrent un séduisant métissage de surréalisme et d'exotisme. Un de plus qui, comme Robert Poulet (le brillant romancier d'Handji) et quelques autres écrivains de droite, ne mérite vraiment pas son sort.
L'histoire de Lafforest est . . .
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