
Ayant raté son suicide par absorption de somnifères, la narratrice des Murs se retrouve, après quatre jours aux soins intensifs, dans une chambre d’hôpital où elle est reconnue « irrécupérable », « suicidaire », « dangereuse » et « névrosée ». Devant la gravité de son état, on la transfère dans un établissement psychiatrique oùLire