
Dans les universités québécoises, l’intérêt pour les études cinématographiques était d’abord venu de professeurs de littérature qui voulaient compléter leurs analyses par des illustrations divertissantes pour les étudiants. La plupart de ces enseignants ignoraient tout des théories du cinéma, ou pire encore, croyaient les connaître en y appliquant tant bien que mal des approches narratologiquesLire