Ça arrive parfois avec certains livres qu'on aime bien, ceux de Belletto, par exemple : leur lecture sème plein de petites choses intrigantes dans tous les coins de la tête.
Belletto écrit des nouvelles, des sonnets (hé oui !) aux accents pataphysiques, des romans tragico-burlesques qui font froid dans le dos et toutes sortes d'autres textes plus rebelles à l'étiquetage. Quelques-uns sont connus, comme L'enfer ou Sur la terre comme au ciel (au cinéma, Péril en la demeure) ; d'autres restent plus secrets, comme Film noir ou Loin de Lyon. Très différents les uns des autres, un même fil conducteur les relie entre eux pourtant. « Voilà qui prouve que j'existe, quand même », m'a-t-il dit. Quand même ?
Disons que l'envie . . .
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