Chaque jour, chaque heure est une bonne occasion de découvrir ou de redécouvrir Réjean Ducharme et son œuvre, qu’ils soient au centre d’un festival littéraire ou non.
Quand on parle de lui, on évoque volontiers la publication inattendue de L’avalée des avalés chez Gallimard en 1966 et « l’affaire Ducharme » qui s’ensuivit, ou encore l’aura de mystère qui enrobe cet écrivain invisible, volontairement absent de l’espace public. Mais outre tout cela, il y a un ensemble d’œuvres, qui sont souvent éclips . . .
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