Malgré ce qu'en pense un professeur de philosophie latino-américaine qui affirmait récemment à Paris que les littératures nationales n'existaient pas. Il n'y aurait pas de littérature française, ni tchèque, ni espagnole ; il y aurait uniquement de la bonne et de la mauvaise littérature.
La littérature est universelle, un point c'est tout, conclut l'intellectuel, catégorique.
Le professeur peut avoir raison, mais à l'heure d'étudier les œuvres littéraires dans le monde, on se frotte au fait incontestable que celles-ci . . .
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