Prenez une jeune fille de très bonne famille, élevée au cours des années 1840 dans la proximité des arts, la religion, les bonnes manières et les débats d’idées. Je n’imaginerais pas qu’à force de souffrances morales, une telle jeune femme puisse s’automutiler.
Vous me direz, bien au contraire, qu’elle avait tout pour se sentir écrasée dans ce Québec d’autrefois. Et puis, vous penserez : la maladie mentale frappe où elle veut. Que voulez-vous, ma naïveté me rattrape. Les livres servent encore à ça, à nous dessiller les yeux . . .
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