À l'aube du 8 avril 2003, quelques jours à peine après le début de la guerre d'Irak, les chars américains sont déjà aux portes de Bagdad. Jean-Paul Mari, quant à lui, est dans sa chambre de l'hôtel Palestine, où logent les représentants de la presse internationale. De son balcon, il est témoin du pilonnage de la ville par les avions américains. Tout à coup, une énorme explosion se produit : l'hôtel a été touché. Il se précipite en direction de l'impact et, dans une chambre dévastée, il découvre un jeune cameraman ukrainien salement atteint à l'abdomen, mais encore vivant. En compagnie d'un confrère, il tente de lui venir en aide, mais il n'y a plus rien à faire. Il apprend un peu plus tard qu'un cameraman espagnol a également été tué par l'explosion. Au cours de ses missions de correspondant de guerre, Jean-Paul Mari a dû faire face à plusieurs reprises à la . . .
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