« Crétin ! » lança à Salter le lieutenant-colonel à qui il annonça un jour sa décision de quitter l’armée pour se consacrer à l’écriture alors qu’il était au faîte de sa gloire comme pilote de chasse dans l’armée américaine. L’officier à qui il avait précédemment remis sa lettre de démission, après douze années de loyaux services et une centaine de missions, dont certaines durant la guerre de Corée, s’était montré plus réservé, aussi neutre que s’il lui avait rendu une boîte de . . .
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