On ne peut pas parler de thriller pour décrire les romans de Donna Leon, ni affirmer que ses intrigues pèchent par excès de péripéties. Requiem pour une cité de verre n'échappe pas à cette règle. Pour tout dire, il faut attendre la découverte d'un cadavre en page 143 pour que débutent les choses sérieuses. Et encore !
C'est le printemps à Venise. Le commissaire Brunetti a des envies irrépressibles de fuir son bureau pour humer l'odeur des premières fleurs. Il accepte donc volontiers d'accompagner son adjoint Vianello . . .
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