Depuis la publication de Garage Molinari en 1998, Jean-François Beauchemin poursuit une œuvre qui, pour avoir changé de ton avec la parution de La fabrication de l’aube presque dix ans plus tard, n’en tourne pas moins autour des mêmes nœuds dramatiques et, pourrait-on dire, philosophiques. Son nouveau titre, Quelques pas dans l’éternité, s’inscrit sans conteste dans la même veine.
En fait, Beauchemin offre ici à ses lecteurs, sous forme de calepins de l’année 2012, une immersion dans l’univers de l’écrivain et de l’homme qu’il refuse . . .
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