Le nom de Didier Barbelivien est inconnu au Québec, mais ses chansons « Mademoiselle chante le blues », « Mon mec à moi », « Les hommes qui passent » et « D’Allemagne », interprétées par Patricia Kaas, sont restées dans nos mémoires depuis trente ans.Tout comme les belles paroles de « Michèle » – empreintes de nostalgie –, écrites pour Gérard Lenorman en 1976. Et ce n’est que la pointe de l’iceberg musical : Didier Barbelivien a côtoyé les plus grands de la chanson française durant près d’un demi-siècle.En France, cet auteur-compositeur est aussi connu comme chanteur, écrivain et surtout collaborateur de plusieurs artistes, de Dalida et Julien Clerc à Sylvie Vartan, Marie Laforêt et Michel Sardou, auxquels il pouvait offrir des dizaines de textes. Déjà, en 1978, il écrit « Elle m’oublie » pour Johnny Hallyday ; ils deviennent alors des complices. Au point que ce jeune créateur de chansons – âgé de seulement 24 ans – est un jour invité par « Jeunny
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