L'écrivaine franco-slovène Brina Svit vit à Paris et se réfugie parfois dans son repaire, au cœur d'un village slovène. Deux doigts à l'est de l'Italie, sur le magnifique plateau du Karst. Vue imprenable sur l'Adriatique. Quand elle ne danse pas le tango à Buenos Aires ou ne participe pas à quelque salon littéraire, quelque part dans le vaste monde.
Lors de notre rencontre au Salon du livre de Québec, elle revenait de Reykjavik « où se passe [son] nouveau roman » ' qu'elle n'arrivait pas à terminer ' et était follement en amour, me disait-elle. Une histoire malaisée « vu qu'ils étaient mariés chacun de son côté et qu'ils avaient des enfants ». Puis l'inévitable rupture. Une histoire d'amour qui se termine avec un texto, qui fait mal, qui conclut : « Trop compliqué tout ça. Je sors de ta vie ».
Récit autobiographique, le Petit éloge de la rupture égrène petits et grands malheurs . . .
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