Qu’on l’interprète comme l’émergence inespérée d’une jeunesse qui sait jouer comment combattre le nouveau capital financier, comme la sortie d’une période de latence de près de 30 ans ou comme le retour du refoulé de la Révolution tranquille, la grève étudiante qui vient de réveiller nos concitoyens s’inscrit dans la crise actuelle du capitalisme sauvage. La violence de nos politiciens au pouvoir et de leurs paramilitaires, dont les délits ont été « autorisés » par la loi 78 (imposée sous le bâillon), traduit la . . .
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