Bien qu’elle défie les généralisations, il semble qu’une certaine mouvance « néoterroir » continue de faire des petits en territoire québécois.
Entre les films et séries télé réinterprétant des classiques de la trempe du Survenantet d’Un homme et son péché(il y aurait aussi un Menauddans les plans, nous prévient-on), et les remakeslittéraires récents de Maria Chapdelaineet de La Scouine, la campagne et le passé canadiens-français suscitent sans cesse de nouveaux regards. Comme s’il y avait là un vide à combler, une nécessité plus ou moins lyrique d’une « prise de terre ». C’est dans ce contexte que surgit Jean-Philippe Chabot avec Le livre de bois, un ouvrage ambigu qu’il faudrait simultanément lire comme un hommage à nos contes . . .
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