On connaît l'esthétique poétique dite « baroque » de Jean-Paul Daoust, un auteur très prolifique ayant publié une trentaine de recueils depuis 1976. Il a par ailleurs dirigé la revue Estuaire de 1993 à 2003. On a pu le qualifier de « dandy crépusculaire » car son écriture plonge dans les zones d'ombre de l'humain, les aléas de l'existence et ceux, aussi, d'une époque. Ainsi, de Taxi pour Babylone (Écrits des Forges/L'Orange bleue, 1996) à Carnets de Moncton, Scènes de la vie ordinaire (Perce-Neige, 2010) en passant par Cinéma . . .
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