Aller au contenu
Accueil > Commentaires de lecture > LES VINGT-CINQ ANS DE L’APLAQA ÉTAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES D’AVENIR

LES VINGT-CINQ ANS DE L’APLAQA ÉTAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES D’AVENIR

  • par

Les professeurs ont besoin de partager leurs recherches et d’être à l’écoute de celles de leurs collègues. Les colloques sont le moyen privilégié pour créer des occasions d’échange et de partage. Encore faut-il que ces événements soient accessibles géographiquement et qu’ils soient porteurs des sujets qui préoccupent ces chercheurs. Là est le rôle de l’Association des professeurs des littératures acadienne et québécoise de l’Atlantique (APLAQA), dont les colloques ont lieu presque toujours dans cette région.

On y cherche à « inscrire dans la durée la recherche littéraire en contexte minoritaire » en stimulant la réflexion sur les littératures acadienne et québécoise et « à les mettre en rapport avec toutes les autres littératures d’expression française du Canada et du monde ». Fondée au printemps 1991 par deux jeunes professeurs de l’Université du Nouveau-Brunswick, Robert Viau et Louis Bélanger, l’association organisait son premier colloque à l’automne . . .

Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ?

Enregistrement