Après Le fil des kilomètres et Le poids de la neige, le personnage du mécanicien sans nom poursuit sa quête dont l’objet demeure incertain. Une fois de plus, le récit sous tension tient le lecteur en haleine, intelligence à la clé.
Le troisième roman de Christian Guay-Poliquin nous entraîne dans les profondeurs de la forêt et dans un récit densément ramifié. Le personnage principal et narrateur, le mécanicien des deux romans précédents, marche seul en direction du camp de chasse de ses oncles et de ses tantes, où ces derniers se sont retranchés en raison de l’énigmatique panne d’électricité qui paralyse la contrée. L’homme progresse avec difficulté, car il ne s’est pas complètement remis de ses blessures aux jambes, subies lors d’un grave accident d’auto. De plus, les bois ne sont pas sûrs. La pénurie généralisée exacerbe les . . .
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