Fanny Britt s’est d’abord fait connaître dans le milieu du théâtre, comme traductrice et auteure (entre autres avec Bienveillance, Prix du Gouverneur général 2013). On lui doit aussi le fameux album jeunesse Jane, le renard et moi, qui lui a valu de nombreux prix et nominations, en plus d’être traduit en plusieurs langues. Les tranchées, paru en 2014 chez Atelier 10, nous la révélait comme essayiste, avec une écriture piquante, pleine d’autodérision. Dans cet essai écrit sur le vif, elle revendiquait une maternité à l’image des femmes d’aujourd’hui, c’est-à-dire imparfaite, instinctive, tendre, coupable mais en même temps décomplexée. En somme, une maternité toute en contradictions. Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion
Son premier roman, Les maisons, poursuit la réflexion sur la féminité entamée dans son essai. On y retrouve d’ailleurs, pour ceux qui ont lu
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