« Il y a des nuits pour mourir » ; « Il n'y a que l'homme et son faux pays » ; « [I]l y aura des rivages de terre noire » ; « [I]l y a des jours pour sourire ». Ce sont des vers qui débutent des parties du recueil de poésie d'Annie Beaulac. C'est un voyage à travers la vie, des constats qui se font au fil du chemin : il y a de tout, des choses bonnes, mauvaises, dures, douces, dont on jouit ou dont on souffre.
La troisième partie est différente, un point d'interrogation au centre, un épisode plus haché, plus collé au corps, où le ton et les termes ne laissent rien présager de céleste dans la sexualité. Elle est la seule à générer des « odeurs » dans le recueil, alors que pour le reste, c'est de « parfum » que l'auteure parle.
À souligner que la poétesse fait du slam. Cela m'a intriguée. Je suis donc allée sur Internet pour . . .
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