« Il y a des nuits pour mourir » ; « Il n'y a que l'homme et son faux pays » ; « [I]l y aura des rivages de terre noire » ; « [I]l y a des jours pour sourire ». Ce sont des vers qui débutent des parties du recueil de poésie d'Annie Beaulac. C'est un voyage à travers la vie, des constats qui se font au fil du chemin : il y a de tout, des choses bonnes, mauvaises, dures, douces, dont on jouit ou dont on souffre.
La troisième partie est différente, un point d'interrogation au centre, un . . .
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