Lorsque la décision fut prise de consacrer ce numéro des « Cahiers Fernand Dumont » à la « crise de l’éducation », comme le souligne son directeur, Serge Cantin, rien ne laissait présager que le Québec allait sortir de sa torpeur le temps d’un printemps érable qui mobiliserait des centaines de milliers d’étudiants et de sympathisants, toutes générations confondues, sur la question des frais de scolarité. Pointe de l’iceberg de la crise, le malaise était toutefois plus profond, comme l’illustrent éloquemment les vingt articles ici réunis qui regroupent autant d’auteurs d’horizons . . .
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