Que de jours et de nuits se sont succédé sous le toit du Maroc, du Maghreb et du Moyen-Orient depuis la parution de O mes sœurs musulmanes, pleurez ! en 1964. Témoignage naïf mais combien poignant d’une Algérienne quand, devenue nubile à douze ans, elle se voit soudain privée de toute liberté et mariée. La liberté, elle en avait été instruite à l’école en côtoyant des fillettes européennes. L’horizon s’est-il éclairci depuis ces temps qui paraissent assez lointains ?
Cinq décennies après le . . .
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